« Dans la succession de mes créations, Opus 14 représente un nouveau rendez-vous porté par seize danseurs hip hop d’excellence. Dans la continuité de Prière pour un fou, des Corps étrangers, de Symfonia Piesni Zalosnych, et de The Roots, ma recherche chorégraphique me conduit aujourd’hui à développer l’idée de masse. Comment de ce collectif dansant, une dynamique s’imprime, s’inscrit dans l’espace ? Comment de ce principe fondamental au mouvement, les danseurs se jouent de la gravité. Comment, comme en apesanteur, portent- ils l’idée d’élévation. Puissance, altérité, engagement, poétique des corps. Fondamentalement, Opus 14 est une pièce hip hop.»
Kader Attou
PRESS
« Seize danseurs sont là, tous porteurs d’une étourdissante puissance physique, d’un souffle merveilleux, tantôt serrés comme une pulpe autour de son noyau, tantôt soumis à d’autres forces, d’autres chocs, tensions, extensions, au sol ou dans le ciel, telluriques ou solaires. Fébriles de vouloir s’exprimer, exploser ou se lier en énergie, en mouvement, il sont le sable, ils sont le ressac. De toutes les manières ils sont des âmes incarnées qui accomplissent leur voyage. »
Élian Monteiro
« Opus 14, ce n’est pas pour 2014 ni pour célébrer un centenaire important, c’est parce qu’il s’agit de ma 14éme création” explique Kader Attou.
Et pourtant, Opus 14 fera certainement date comme une des pièces charnières de l’histoire du hip hop français de création.»
Bruno Paterno, Inferno Magazine
« Opus 14 ne se contente pas d’être une sorte de feu d’artifice hip hop, mais un vrai travail sur l’écriture de cette discipline avec pour ligne de mire ce qu’il en reste quand on lui enlève tout le reste.(…).
OPUS 14, avec ses seize danseurs tous excellents, ouvre la voie à un renouveau hip hop, traité comme un vocabulaire, une syntaxe malléable à l’envi, aussi mystérieuse que les circonvolutions peintes par Ludmila Wolf qui déploie son dessin dans l’espace. ».
Agnès Izrine, Danser Canal Historique